



« Dis-moi comment tu traites tes cheveux, je te dirai qui tu es. » Cette phrase, entendue un jour dans un salon de coiffure à Paris, ne m’a jamais quittée. Les cheveux sont bien plus qu’une question d’apparence : ils traduisent nos humeurs, nos origines, parfois même nos combats intimes.
Je m’appelle Jenny Larnat, fondatrice de Hiona, et depuis toujours, mes cheveux ont rythmé mon histoire.
Petite, je rêvais de la longue chevelure de ma mère, que je voyais briller sous le soleil d’été. Adolescente, mes mèches rebelles me donnaient l’impression de lutter chaque matin contre une identité qui m’échappait. Puis vint la découverte des rituels capillaires au fil de mes voyages : l’huile d’argan des femmes marocaines, le rinçage au thé vert au Japon, les secrets d’aloe vera glanés au Mexique. Chaque étape de ma vie a été ponctuée par une nouvelle manière de prendre soin de mes cheveux – et, en vérité, de moi-même.
Avec le temps, j’ai compris que mes cheveux étaient comme un miroir : lorsque je les laissais ternes et fatigués, c’était souvent parce que je ne prenais pas assez soin de moi. À l’inverse, un cheveu brillant et fort était le signe d’un équilibre retrouvé, d’une confiance qui renaissait. C’est ce lien intime entre beauté capillaire et bien-être intérieur que j’ai voulu explorer et partager.
Hiona est né de ce constat : derrière chaque cheveu, il y a un style, une culture et une histoire personnelle. Ici, je partage non seulement des conseils pratiques et des tendances coiffures, mais aussi une vision : celle d’un monde où l’on célèbre la diversité capillaire, des cheveux crépus aux cheveux lisses, des franges sages aux undercuts audacieux. Mon ambition ? Faire de ce blog un lieu où chaque personne peut trouver l’inspiration pour révéler la meilleure version de sa chevelure… et d’elle-même.
Parce qu’au fond, un cheveu, c’est bien plus qu’une fibre de kératine : c’est une confidence, une mémoire, une signature. – Jenny
Prendre soin de ses cheveux n’a jamais été un simple geste esthétique : c’est un rituel, parfois même un héritage. Je me souviens encore de ma grand-mère, qui ne se couchait jamais sans avoir brossé ses cheveux cent fois, persuadée que ce geste quotidien leur donnait force et éclat. En France, on parle de la fameuse “bonne coupe de cheveux” qui change un visage et redonne confiance.
En Inde, j’ai été fascinée par le parfum des huiles que les femmes appliquent avec patience, comme une transmission de génération en génération. En Afrique, les longues séances de tresses racontent une histoire d’appartenance et de solidarité. Au Japon, j’ai découvert la délicatesse du rinçage au thé vert, un rituel aussi simple qu’apaisant. Partout, le cheveu est porteur de sens, de mémoire et de beauté.
Mais cette richesse rend aussi la quête personnelle complexe. Fins, épais, secs, bouclés, lisses ou crépus – chaque chevelure est unique, avec ses forces et ses fragilités. Trop souvent, on se perd dans la jungle des promesses marketing, en multipliant les produits sans vraiment comprendre ce dont nos cheveux ont besoin.
C’est là qu’intervient Hiona : non pas comme une vitrine de tendances, mais comme une boussole capillaire. Un lieu où trouver des conseils pratiques, des routines adaptées, des analyses honnêtes de produits et des inspirations de coiffures venues du monde entier.
Parce que vos cheveux ne sont pas une contrainte à dompter, mais une force à révéler. Et qu’un cheveu bien compris devient une source de confiance et une part essentielle de votre identité.
Ma boussole capillaire signée Jenny : mon expérience, les gestes justes et des repères simples pour sublimer chaque type de cheveu.
Un cheveu fin s’emmêle vite et perd son volume. Allège la routine : shampoing volumateur, soins légers, coupe structurée et séchage tête en bas.
Le plus : styling en brume à distance, par fines couches.
Les cheveux épais aiment les soins nourrissants non occlusifs et les dégradés qui répartissent la densité. Séchage dirigé à la brosse = contrôle sans étouffer.
Hydrate bien, applique une crème/gelée sur cheveux très humides, sèche au diffuseur basse température et ne touche plus jusqu’au refroidissement.
Hydrater, sceller, protéger : co-wash/shampoing doux, masques riches, huiles légères selon porosité, coiffures protectrices, bonnet/taie satin.
Purifie le cuir chevelu (clarifiant doux 1×/semaine), soins légers sur longueurs, relevé des racines au brushing et voile texturisant uniquement sur longueurs.
Je me suis longtemps trompée de bataille : je cherchais “le” produit miracle alors que mon cheveu réclamait surtout une routine simple et régulière. Le jour où j’ai observé mon cuir chevelu comme on écouterait sa peau, tout a changé : moins de casse, plus de brillance, et surtout une sensation de légèreté durable.
La routine essentielle : laver, hydrater, nourrir, protéger
Chaque cheveu a sa musique, mais la partition reste la même. Un lavage doux qui respecte le microbiome du cuir chevelu ; une hydratation pour apporter de l’eau à la fibre ; une nutrition pour sceller et éviter l’évaporation ; une protection contre la chaleur et les frottements. Inutile d’accumuler les couches : mieux vaut des gestes justes que des tiroirs pleins.
Le cuir chevelu, racine de tout
Quand mon cuir chevelu allait bien, mes longueurs suivaient. Si tu ressens démangeaisons, pellicules, excès de sébum ou zones sèches, traite d’abord la source. Un shampoing doux en massages lents, une exfoliation mensuelle si besoin, et des pauses entre les lavages pour laisser le cuir chevelu respirer. Un cuir chevelu apaisé, c’est un cheveu qui pousse mieux.
Hydratation vs nutrition : ne plus confondre
Pendant des années, je “nourrissais” un cheveu qui manquait… d’eau. L’hydratation (aloe, glycérine, panthénol) repulpe la fibre ; la nutrition (huiles légères, beurres) vient ensuite sceller. Si les longueurs gonflent et sèchent vite, ton cheveu a soif ; s’il paraît rêche et cassant, il réclame des corps gras. L’équilibre des deux fait la différence.
La porosité, boussole cachée
Une amie m’a parlé de la porosité et j’ai enfin compris pourquoi certains soins “glissaient” sur mes cheveux.
Protéger la fibre au quotidien
Le miracle discret ? Des gestes d’évitement : serviette microfibre, taie d’oreiller en satin, brossage délicat en partant des pointes, protection thermique avant tout outil chauffant, élastiques sans métal, coiffures souples la nuit. C’est invisible à l’œil nu, mais capital sur plusieurs semaines.
Le calendrier capillaire, sans pression
J’ai testé le hair schedule avec souplesse : une semaine plus hydratation, une autre plus nutrition, un masque réparateur après une coloration. Le secret n’est pas la rigidité, mais l’écoute : adapter la routine à la météo, au cycle hormonal, au stress, aux vacances. La constance l’emporte toujours sur la perfection.
Les erreurs qui coûtent cher
Trop laver, trop serrer, trop chauffer. Sauter l’étape protectrice avant le fer. Espérer d’un sérum qu’il règle un souci de cuir chevelu. Les cheveux n’aiment ni les extrêmes ni la précipitation. Prends le temps de rincer, de masser, de laisser agir — c’est là que la magie opère.
En vérité, un cheveu n’a pas besoin d’être “dompté”. Il a besoin d’être compris, puis accompagné. Et quand on l’accompagne bien, il nous le rend toujours. – Jenny
| Besoin du cheveu | Gestes clés |
|---|---|
| Hydratation (soif, frisottis) | Masques à l’aloe, glycérine ou panthénol, appliquer sur cheveux humides puis sceller ensuite. |
| Nutrition (rêche, cassant) | Huiles légères ou beurres en petite quantité, concentrés sur les mi-longueurs et pointes. |
| Cuir chevelu (sébum, pellicules) | Shampoing doux en massage, exfoliation mensuelle, espacer les lavages, rincer soigneusement. |
| Protection (chaleur, frottements) | Thermoprotecteur, serviette microfibre, taie en satin, élastiques sans métal, coiffures souples la nuit. |
| Porosité (pénétration des soins) | Faible : chaleur douce + textures légères | Moyenne : routine classique | Forte : soins réparateurs, un peu de protéines, huiles plus riches. |
Mes réponses aux questions fréquentes sur les cheveux secs, gras, abîmés ou colorés — avec mes anecdotes et des astuces simples.
Un cheveu sec manque d’eau : il devient rêche, cassant, difficile à coiffer. La clé : réhydrater en douceur puis sceller l’humidité. Utilise des masques hydratants à base d’aloe, glycérine ou panthénol, et termine avec une huile légère.
Mon geste fétiche : un spray maison d’eau minérale + quelques gouttes d’aloe vera, à vaporiser chaque matin avant de coiffer.
Un cheveu gras traduit souvent un cuir chevelu qui surproduit du sébum. Évite les lavages trop fréquents qui stimulent encore plus cette production. Privilégie un shampoing doux, espace les lavages, et utilise un rinçage au vinaigre de cidre pour rééquilibrer.
Astuce rapide : saupoudre un peu de fécule de maïs sur les racines avant un rendez-vous express, puis brosse : effet shampoing sec naturel garanti.
Un cheveu abîmé a besoin de protéines et de soins réparateurs. Alterne masques fortifiants (kératine, protéines de soie) et soins nourrissants. Coupe régulièrement les pointes pour éviter la casse qui remonte.
Mon déclic : arrêter les lissages quotidiens et passer à une protection thermique systématique. En trois mois, mes cheveux ont retrouvé élasticité et brillance.
Un cheveu coloré a besoin de douceur. Utilise un shampoing sans sulfates, privilégie l’eau tiède, espace les lavages et protège les longueurs du soleil. Les masques spécifiques “cheveux colorés” aident à garder l’intensité plus longtemps.
Routine perso : rincer les cheveux à l’eau froide après chaque soin pour refermer les écailles et fixer la couleur.
Je me souviens de la première fois où j’ai osé changer de coupe radicalement : passer de cheveux longs à un carré structuré. Ce n’était pas qu’une question d’esthétique, mais une manière de marquer un nouveau départ. Une coiffure peut transformer un visage, mais aussi révéler un état d’esprit. Derrière chaque frange coupée sur un coup de tête, chaque dégradé parfaitement dessiné, se cache souvent une envie de renouveau.
Le dégradé homme en est l’exemple parfait : une coupe indémodable qui traverse les générations. Étudiants, artistes, sportifs ou cadres, tous l’adoptent parce qu’il s’adapte à chaque morphologie et à chaque type de cheveu, du plus fin au plus crépu. Simple mais élégant, il incarne la coupe universelle par excellence.
La frange rideau, quant à elle, illustre le retour des inspirations vintage. À Lisbonne, j’ai vu une jeune femme sortir d’un salon rétro avec cette frange délicatement effilée : elle semblait tout droit sortie des années 70, avec une modernité désarmante. Cette coiffure, aujourd’hui revisitée, adoucit les traits et se prête aussi bien aux cheveux lisses qu’ondulés.
À l’autre extrémité du spectre, il y a l’undercut féminin. J’en garde l’image d’une femme croisée à Tokyo : sobre en apparence, elle laissait apparaître une nuque rasée lorsqu’elle relevait ses cheveux. C’était un geste subtil mais terriblement puissant, comme si elle révélait une part plus libre d’elle-même. L’undercut n’est pas qu’une coupe : c’est une déclaration d’audace.
Et puis, il y a les tresses et coiffures protectrices que j’ai découvertes lors d’un voyage à Dakar. Des heures passées à tresser, non pas comme une corvée, mais comme un rituel collectif, un moment de transmission et de complicité. Ces coiffures ne protègent pas seulement la fibre capillaire, elles expriment aussi une identité, une histoire, une créativité infinie.
Entre tendances mondiales et styles intemporels, la coiffure reste un langage universel. Elle parle de nos origines, de nos humeurs, de nos envies de changement. Sur Hiona, j’aime explorer ces influences, qu’elles soient inspirées des podiums, des rues d’ailleurs ou de mon propre vécu. Car une coiffure, qu’elle soit simple ou sophistiquée, reste toujours une façon de dire qui nous sommes, sans avoir besoin de mots.
Lorsque j’ai commencé à écrire sur les produits de beauté et les boutiques en ligne, je ne pensais pas que mes articles sur des marques aussi différentes que Herbalife, JJshouse ou Beauté Privée attireraient autant de lecteurs. Mais au fond, cela ne m’étonne plus : derrière chaque achat, il y a une recherche de confiance, et derrière chaque marque, il y a des promesses qu’il faut savoir décoder.
Je me souviens d’une amie qui m’avait parlé de ses doutes sur Herbalife. Elle voyait les publicités, les témoignages, mais ne savait pas quoi en penser. J’ai décidé d’enquêter, de lire les retours, de comparer les discours avec la réalité. Mon article est né de cette démarche : non pas juger, mais mettre en lumière ce que disent vraiment les utilisateurs. Les avis Herbalife, qu’ils soient positifs ou critiques, deviennent ainsi un outil pour chacun de décider en conscience.
Avec JJshouse, l’histoire était différente. Une lectrice m’avait écrit après avoir commandé une robe de soirée et m’avait partagé son expérience, mélange d’enthousiasme et de frustration. J’ai voulu creuser : comprendre comment fonctionne cette plateforme, ce que disent les clientes, et surtout, quels sont les pièges à éviter. Les avis JJshouse que j’ai recueillis permettent à d’autres de ne pas se sentir seuls face à leurs hésitations.
Et puis, il y a Beauté Privée, cette vitrine géante où l’on trouve tout et son contraire. Quand j’y ai acheté mes premiers soins capillaires à prix cassés, je me suis demandé : est-ce trop beau pour être vrai ? En analysant l’offre, les marques partenaires et les retours des acheteurs, j’ai pu écrire un article plus nuancé : oui, Beauté Privée permet de belles affaires, mais encore faut-il savoir choisir et ne pas se laisser happer par la quantité.
À travers ces articles, je n’essaie pas de dire aux lectrices et lecteurs ce qu’ils doivent acheter. Mon rôle est plutôt celui d’une éclaireuse : tester, décoder, synthétiser, pour que chacun se sente libre et éclairé dans ses choix. Car un produit capillaire, une robe ou un complément alimentaire ne sont jamais de simples objets : ils touchent à l’image de soi, à la confiance, parfois même à la santé.
Sur Hiona, la section Tests & Avis est pensée comme un espace sincère, où les marques sont observées avec curiosité mais aussi avec exigence. Car au fond, les cheveux, la beauté et la mode méritent mieux que des promesses marketing : ils méritent des expériences réelles, partagées sans filtre.
Je crois qu’on a toutes et tous eu ce réflexe, un jour : ouvrir sa cuisine ou son placard de salle de bain et se dire « Et si je testais ça sur mes cheveux ? ». C’est exactement ce que j’ai fait la première fois que j’ai appliqué de l’huile d’olive sur mes pointes desséchées. L’odeur me rappelait la cuisine de ma grand-mère, mais le lendemain, mes longueurs semblaient revivre. C’est ce jour-là que j’ai compris que les remèdes naturels pouvaient rivaliser avec les soins les plus coûteux.
En voyage au Maroc, j’ai découvert l’huile d’argan, utilisée depuis des siècles par les femmes berbères pour nourrir leurs cheveux et leur peau. Quelques gouttes suffisent pour redonner brillance et douceur à une chevelure fatiguée. Au Mexique, j’ai appris à utiliser l’aloe vera directement sur le cuir chevelu : son gel apaise, hydrate et repulpe la fibre comme par magie. Au Japon, une amie m’a initiée au rinçage au thé vert, qui purifie et stimule la pousse.
Ces astuces ne sont pas des recettes miracles, mais des rituels qui reconnectent à l’essentiel. Prendre le temps de masser une huile dans ses cheveux, de préparer un masque maison au miel et au yaourt, ou de rincer à l’eau froide après un soin, ce sont des gestes simples qui redonnent au cheveu sa vitalité.
Avec les années, j’ai appris à écouter mes cheveux : quand ils crissent, ils demandent de l’hydratation ; quand ils deviennent rêches, ils réclament des lipides. La nature offre une palette infinie de solutions, à condition de les utiliser avec mesure et régularité.
Sur Hiona, je partage ces astuces naturelles non pas comme des “recettes magiques”, mais comme des invitations à expérimenter. Car au fond, prendre soin de ses cheveux, c’est aussi renouer avec la patience, la simplicité et le plaisir des gestes authentiques.
Chaque cheveu raconte une histoire. La mienne s’écrit au fil des coupes, des voyages et des découvertes de rituels venus d’ailleurs. C’est cette curiosité et cette passion que je partage sur Hiona : un lieu où se croisent inspirations, conseils et confidences capillaires.
Et parce que la beauté du cheveu se vit aussi au quotidien, je vous invite à lire mes contenus pour suivre mes coups de cœur, mes découvertes et mes instants d’inspiration.


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